Asadora
Dessinateur : Naoki Urasawa
Scénariste : Naoki Urasawa
Editeur: Kana
Le résumé de ce #03 en quelques lignes…
Chapitres 17 à 23
Monsieur Naikado est un petit scientifique sans grande envergure, abonné aux travaux scientifiques précaires ; sa vie l’entraine de musée en labo’, au gré de ses petits contrats.
Pourtant un jour, il rencontrera un mystérieux professeur dissident Yodogawa qui lui lèguera l’ensemble de ses notes avant de disparaitre…
Asa est elle aussi emportée par les flots de ses recherches sur le mystérieux monstre marin qui a anéanti tout son village et les environs. En compagnie de Monsieur Kasuga, elle rencontre le sombre colonel Jissôji qui les charge officieusement de faire toute la lumière sur cette Ténébreuse affaire. Il faut absolument que la grande cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques qui doit se tenir dans une semaine se déroule sans anicroche !
Ce qu’on en a pensé…
Un tome sans grande intensité ; 7 chapitres sans grand intérêt. Tel pourrait être notre ressenti à la fermeture de ses pages si on ne connaissait pas l’art dramaturgique de Sensei Naoki.
Certes donc, nous avons avec ce #4 un ensemble de petits événements pas vraiment marquants, mais on se doute bien qu’ils n’ont pas été placés ainsi pour juste faire du remplissage…. Ils auront leur utilité à un moment donné, on en est sûr !
Pas d’avancée majeure dans ce tome, on attend plutôt le suivant qui devrait nous en apprendre plus sur cet entité gargantuesque, qui devrait se révéler un peu plus alors que nous serons à la veille des ouvertures des Jeux Olympiques de Tokyo.
Pour l’anecdote, et comme à son habitude, Naoki Urasawa n’a pu cette fois encore s’empêcher de mettre en scène des références musicales, avec cette fois la sortie en 1964 du Single des Beatles « And I love you ».
Pour en savoir (encore) + ...
On vous invite à découvrir notre édito: Naoki Urasawa, au four & au moulin...