L’histoire de ce #12 en quelques lignes…

Chapitres 44 à 47

Piégé dans une autre dimension par Jigen, Naruto ne devra son salut qu’à l’arrivée impromptue et inconsidérée de son fils et de ses amis, venus le sauver.  Ramené in-extremis à Konoha, Naruto émerge de son coma.  Mais pour y vaincre son ennemi Boro, Boruto a dû laisser libre cours au mystérieux pouvoir enfui en lui ; s’il a alors pu se défaire de son ennemi en un instant, il a revêtu une apparence proche des Ôtsutsuki…

Sasuke pense de plus en plus que le terrible Momoshiki essaie de s’approprier le corps de son disciple….

Du côté de l’organisation Kara, il y a de la rebellion dans l’air : le mystérieux Kashin Koji et le scientifique Amado décident de se rallier à Konoha.  La vénéneuse Delta tentera bien de les arrêter, mais elle sera immédiatement « déconnectée » par un mot de commande d’urgence programmé en elle par Amado…

Décidé à rencontrer le stratège de Konoha Shikamaru,  Amado arrive dans le village caché et prend son fils Shikadai Nara en otage… Il dit n’avoir qu’une seule revendication : Asile à Konoha pour lui ; mieux même, il s’engage à divulguer tout ce qu’il sait de l’organisation Kara, sur Jigen et sur les Ôtsutsuki !  Le marché de cet accord serait on ne peut plus profitable pour Naruto : Amado est le responsable technique de Kara, c’est lui qui a implanté le Kâma dans le corps de Kawaki !  Mais ce sombre transfuge n’a-t-il pas des intentions cachées ?!?

Mais c’est du côté de Kashin Koji que les événements prennent une tournure totalement inattendue : sous prétexte de lui faire son rapport, ce dernier s’attaque à Jigen !

Du côté de l’organisation Kara, il y a de la rebellion dans l’air : le mystérieux Kashin Koji et le scientifique Amado décident de se rallier à Konoha.  La vénéneuse Delta tentera bien de les arrêter, mais elle sera immédiatement « déconnectée » par un mot de commande d’urgence programmé en elle par Amado…

Décidé à rencontrer le stratège de Konoha Shikamaru,  Amado arrive dans le village caché et prend son fils Shikadai Nara en otage… Il dit n’avoir qu’une seule revendication : Asile à Konoha pour lui ; mieux même, il s’engage à divulguer tout ce qu’il sait de l’organisation Kara, sur Jigen et sur les Ôtsutsuki !  Le marché de cet accord serait on ne peut plus profitable pour Naruto : Amado est le responsable technique de Kara, c’est lui qui a implanté le Kâma dans le corps de Kawaki !  Mais ce sombre transfuge n’a-t-il pas des intentions cachées ?!?

Mais c’est du côté de Kashin Koji que les événements prennent une tournure totalement inattendue : sous prétexte de lui faire son rapport, ce dernier s’attaque à Jigen !

Ce qu’on en a pensé…

4 chapitres très chiches en action ; voilà qui est inhabituel pour ce type de manga !  Pour autant, Ukyô Kodachi se montre extrèmement prolixe, en éclaircissant bien des zones d’ombres de son histoire d’ Ôtsutsuki et des liens entre Jigen, Kawaki et Boruto ! 

L’objectif des Ôtsutsuki est clair : aspiré tout le chakra des planètes qu’ils visitent afin de pouvoir évoluer vers une forme de vie supérieure… ne laissant derrière eux que des planètes mortes, exsangue de vie.

Mais la révélation de ce 12^ème tome proviendra de la bouche même de Jigen : si Kawaki a pu s’échapper à l’époque de l’emprise de Kara, c’est grâce aux 2 transfuges !

Pire même : le terrible Jigen n’est -lui aussi !- que le réceptable d’un autre Ôtsutsuki, Isshiki qui était arrivé sur Terre il y a fort longtemps avec une certaine… Kaguya Ôtsutsuki (cfr. le dernier Arc de la série « Naruto) !

D’autres révélations primordiales sont encore contenues dans ce #12, mais il vous faudra de toute urgence l’acquérir pour en savoir bien plus encore !

Vous l’aurez donc compris, ce tome est une véritable pierre angulaire servant de voûte à tout le Lore mit savamment en place dans les tomes précédents !  Bien plus donc qu’une simple « suite commerciale » à l’une des séries les plus lues de par le monde, les auteurs ont réussi l’exploit de transcender l’œuvre originelle !

On adore et on attend avec impatience le XIIIème tome (pas de date annoncée à l’heure de la rédaction de cette chronique).

Milan Morales