Parties 53 & 54
Dessinateur : Shun Matsuena
Scénariste : Shun Matsuena
Editeur: Kurokawa
Le résumé de l’éditeur :
Ryözampaku est un dojo qui a la particularité de ne rassembler que les pratiquants les plus puissants du monde des Arts martiaux.
C’est dans cet « enfer sur terre » qu’étudie le jeune disciple, Ken-Ichi Shirahama.
Alors que les maîtres de Ryözampaku se lancent à l’assaut d’une des principales bases secrètes des ténèbres, les membres de Shinpaku tombent nez à nez avec des membres de Yomi dont Shôgo « Berserker » Kikkawa et un nouveau combattant aveugle Lug « Le roi des techniques de soumission ».
Les membres de Shinpaku sont sur le point de perdre lorsque Ken-Ichi, au nom de la morale des Arts martiaux interrompt le combat et déclare Lug vainqueur.
Pendant ce temps, Rimi termine son entrainement particulier en montagne et rejoint les autres disciples de Yomi. L’heure du grand affrontement entre Yomi et Shinpaku est enfin venu…
Ami lecteur mâle et viril, cette série est pour vous ! Envie d’un bon coup de testostérone ? L’argumentation de cette série tient en 2 expressions : « combats vertigineux » et « boobs affolants ». Un peu court me direz-vous sans doute, pour construire durablement une série…. En temps normal, je ne pourrais que rejoindre votre avis…. Mais là, et au bout de plus de 500 chapitres, force est de constater que Shun Matsuena s’est construit un lectorat fidèle et passionné !
Et encore une fois, la mayonnaise prend et nous entraine dans des combats totalement monstrueux tellement les pouvoirs des protagonistes paraissent disproportionnés !« Disproportionné » est un adjectif qualificatif qui se trouve être le terme le plus adéquat pour qualifier la taille des poitrines féminines, à l’inverse de leur tunique, qui finit de toute façon toujours en micro-lambeaux, cachant à peine les zones les plus … Sensibles ! « L’auteur doit avoir un rapport à la Mère très particulier », dirait mon psy si j’en avais un…
Ami lecteur mâle et viril, mettons donc notre cerveau en mode Off et installons-nous bien confortablement dans notre fauteuil : avec ce double tome, on s’en prend encore une fois plein les mirettes, au figuré comme au sens propre !