Série: Lacrima Christi #3
Auteurs: Denis FALQUE, Didier CONVARD, Angélique CESANO
Editeur BD: Glenat
Une chronique BD: Génération BD
La lutte reste âpre entre l’association inédite Vatican- Triumvirat pour contrer les nombreux malveillants qui cherchent à exploiter les larmes du christ à des fins financières et meurtrières.
Alors qu’au tome 1, Jean Nomane, alias « le rectificateur » était dans une très mauvaise passe (encerclé dans le bunker Nord-Coréen entouré de nombreuses doses mortelles), il parvient à s’en tirer grâce à une cage d’ascenseur treuillée par un hélicoptère dans un contexte très explosif.
Les informations codées par l’alchimiste supposées devoir créer une antidote à cette substance mortelle restent difficiles à déchiffrer. Le groupe va cependant pouvoir bénéficier de l’appui inattendu d’une association secrète créée à l’origine par Uglioni, l’assistant de l’alchimiste qui était le seul survivant du naufrage (voir tomes précédents). Cette association possède un objet ressemblant à un diamant qui devrait permettre faciliter le décodage obscur mis sur pied par l’alchimiste.
Cependant, des individus malfaisants sont repérés dans le parc où Normane rencontrait l’association d’Uglioni. De manière un peu présomptueuse, Normane part à leur poursuite en moto… et fait l’objet d’un guet-apens. Il subit un tir nourri et, touché, il tombe au sol...
Il semblerait que cette ramification de la série « Le triangle secret » comportera 7 tomes soit autant que la série initiale. En ce qui me concerne, je reste très positivement impressionné par « Lachrima Christi » car le scénario reste moins alambiqué que les autres vairations et est très dynamique ; ce qui rend le récit plus accessible et plus captivant. Si Didier Convard parvient à garder ce rythme alerte, cela promet encore quelques bonnes heures de lecture !
Le dessin de Denis Falque devient familier pour cette série et ce n’est certainement pas un défaut car il est vraiment de qualité (il y a juste la couverture pour laquelle j’accroche un peu moins). Par ailleurs, on sent une bonne collaboration entre le dessinateur et le scénariste.
Bref du tout bon ce Lachrima Christi au point que l’on finira par se demander si l’obscur voyageur (le mal, le diable,…) n’existe pas finalement. Vade retro…