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Série: la Geste des Chevaliers Dragons. #17
Auteurs: Ange, Vax, Merle et Paitreau
Editeur BD: Soleil
Une chronique BD: Génération BD
Amarelle. La guerre des sardes, première partie
Série: la Geste des Chevaliers Dragons. #17
Auteurs: Ange, Vax, Merle et Paitreau
Editeur BD: Soleil
Une chronique BD: Génération BD
Histoire:
Arsalam, an 8 de la guerre qui oppose l'Empire aux Sardes. Les pertes sont lourdes dans les deux camps. Bien qu'en nombre insignifiant face aux Sardes, la rage de vaincre est si vive chez les Chevaliers Dragons qu'ils parviennent à bloquer leur progression. A la tête des Sardes, le jeune Louis a réussi à prendre l'ascendant sur les 30 tribus bien que son père qui dirigeait la trentième tribu vienne de se faire égorger. Pour l'Impératrice, la cité d'Arsalam est cruciale à tous points de vue. C'est pourquoi elle fait tout pour sauver la ville car si elle tombe, la guerre sera perdue. Sachant la cité trop bien protégée, Louis envisage d'attaquer le triple pont qui est moins bien gardé mais sachant que les espions de l'Empire rôdent partout, il crée une diversion pour affaiblir la garde d'Arsalam. Amarelle, Beatrix et les autres Chevaliers Dragons vont donc devoir se diviser pour agir sur deux fronts. Louis compte bien profiter de cette situation même si l'ambassadeur impérial, le duc de Chamont, vient de lui annoncer qu'il a des ancêtres originaires d'Arsalam.
Mon avis:
Sur un scénario toujours aussi bien pensé et construit, ce 17ème tome n'a rien à envier aux précédents: la lutte pour le pouvoir entre les tribus, la déclaration d'amour du duc de Chamont à son impératrice, la passion et les sacrifices des Chevaliers Dragons, les stratégies développées dans chaque camp, mais aussi les magnifiques dessins de Vax pour mettre en valeur ce récit. Les personnages féminins sont superbes, en premier lieu nos guerrières dont les corps et les armes ont été pensés pour des combats à mort mais également l'Impératrice, ainsi que les divers combattants tous aisément reconnaissables. Un volume qui vaut le détour et nous incite à suivre les aventures de ces guerrières hors normes car même si les dessinateurs sont inégaux, la série tient sur la longueur.
Blackbolt